Elle capture une
présence qu’elle transforme en évanescence, s’écartant de la convention tout en
respectant les valeurs académiques. Carole se prête au jeu de la référence,
sans la citer. Ses modèles proviennent de différentes
sources d’inspirations. Celles du Quattrocento, des musées
tels que Le Louvre, Orsay, le musée Rodin, Versailles mais aussi les églises ou
les cimetières du Père Lachaise, de Nice, de Venise et Rome. Car c’est avant tout l’attitude qui retient son attention.
La posture qui tend vers l’intimité, faisant du corps un espace de
questionnement.
Les poses lascives et expressives revisitées des figures participent à un certain lyrisme. Elles expriment une nouvelle manière d’appréhender l’être ; « sa douleur, sa joie, son exaltation, quelques fois un sentiment caché… » Sous une forme libératrice de forces en présence, les tensions et les équilibres se révèlent. Les figures s’emmêlent et s’entremêlent, certaines ne font plus qu’une. Dans cette fusion des corps, les rapports…
Les poses lascives et expressives revisitées des figures participent à un certain lyrisme. Elles expriment une nouvelle manière d’appréhender l’être ; « sa douleur, sa joie, son exaltation, quelques fois un sentiment caché… » Sous une forme libératrice de forces en présence, les tensions et les équilibres se révèlent. Les figures s’emmêlent et s’entremêlent, certaines ne font plus qu’une. Dans cette fusion des corps, les rapports…